Revoir ALIEN

Quand cette chère Potzina m’a proposé de me perdre dans l’espace avec elle, via son blog, je n’ai pas hésité une seconde 😉 Le temps de me remettre des fêtes de fin d’année et de ce début 2016 lourd en pertes célèbres. Et v’là t-y-pas que l’idée me vint de vous évoquer l’un des chefs d’œuvre du cinéma de science-fiction et d’épouvante du 20ème siècle. J’ai nommé le superbe ALIEN de Ridley Scott, monument du 7ème art, bijou du cinéma de genre prodigieusement écrit et filmé, réunissant cinéphiles et geeks dans le même élan.

Bien sûr, qui dit ALIEN dit “gore” et je comprends aisément que cela ne plaise pas au plus grand nombre. Mais au-delà des aprioris compréhensibles, laissez-moi vous dire qu’ALIEN reste encore aujourd’hui une œuvre ayant réussi l’amalgame d’un blockbuster, d’un film culte et d’un film d’auteur… et non pas de l’autorité et du charme, bande de sagouins férue de variété française !

Embarquez avec moi à bord du Nostromo, vous perdre dans un espace où personne ne vous entendra crier…

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De DUNE à ALIEN

Tout commence dans la première moitié des années 70. Alejandro Jodorowski lance un monumental projet cinématographique, inspiré du cultissime DUNE de Frank Herbert. Créant un incroyable casting associant Salvador Dali, Alain Delon ou bien encore Mick Jaegger, Jodo (pour les intimes) voit grand, genre peplumesque. Un peu trop grand peut-être. Écrasé par le poids financier du projet et perdu dans ses délires mystico-psychédéliques, l’auteur argentin doit bientôt renoncer à ses envies.

Si l’ensemble du générique parviendra rapidement à retomber sur ses pieds pour cause d’autres projets, certains coulent avec le navire en perdition. C’est le cas du scénariste américain Dan O’Bannon. Égaré dans cette mégalo-production européenne après s’être fait remarqué sur le DARK STAR de John Carpenter, le jeune auteur est forcé malgré lui de rentrer au pays sans un sous en poche, des maux-de-ventre plein le bidon. Ébergé par son ami, producteur et scénariste Ronald Shusett, O’Bannon développe le script d’un film d’épouvante aux confins du cosmos.

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Dan O’Bannon à l’entrée du plateau d’ALIEN.

O’Bannon, aidé de Shussett, s’inspire de IT ! THE TERROR FROM BEYOND SPACE, une série B des années 50 narrant l’affrontement de l’équipage d’un vaisseau spatial contre une créature extra-terrestre. Initialement intitulé STAR BEAST, leur scénario est un mélange de film d’horreur et de science-fiction à faible budget.

Leur projet sous le bras, les 2 comparses sont repérés par la société de production Brandywine Films, nouvellement créée par Gordon Carroll, David Giler et Walter Hill. Ces derniers n’apprécient guère le récit mais sont interpellés par la façon dont la créature se reproduit, à la manière d’un parasite. Le titre, jugé trop cheap, est remplacé par le mot ALIEN, régulièrement utilisé dans le script par O’Bannon pour désigner le monstre. Puis, des changements de scénario sont effectués par Giller et Hill, entraînant par la suite des querelles entre ces derniers et O’Bannon quant à la paternité de l’histoire.

Les associés de Bradywine contactent Alan Ladd Jr, producteur à la 20th Century Fox, derrière les succès de LA TOUR INFERNALE ou STAR WARS. C’est justement le triomphe surprise de ce dernier film qui pousse la Fox à lancer la production d’ALIEN, afin de rebondir sur le récent engouement du public pour les récits de SF.

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Ridley Scott sur le tournage d’ALIEN en 1978.

Lui-même réalisateur de films comme DRIVER, 48 HEURES ou LES RUES DE FEU, Walter Hill ne se sent pas apte à contrôler un projet comprenant de nombreux effets spéciaux. La mise-en-scène d’ALIEN est donc confiée au jeune cinéaste Ridley Scott, issu de la publicité et remarqué pour son 1er long-métrage DUELLISTES en 1977.

Scott, féru des bandes dessinées du magazine français METAL HURLANT et emballé par l’imagerie « sale et usée » de STAR WARS, souhaite donner à ALIEN un aspect crédible à 100 lieues du look propre et lisse de la SF des années 50/60. Graphiste de formation, le réalisateur élabore un story-board très détaillé du film et veut s’entourer de pointures comme Chris Foss ou Moebius / Jean Giraud, l’un des fondateurs de METAL HURLANT.

Le hasard fait bien les choses : Foss et Moebius ont travaillé sur le DUNE de Jodorowski et connaissent Dan O’Bannon qui n’a pas de mal à les convaincre de rejoindre l’aventure ALIEN. Parmi les autres artistes que O’Bannon a croisé sur la pré-production de DUNE, un plasticien du nom de Hans Ruedi Giger l’avait particulièrement frappé pour la beauté repoussante des ses œuvres bio-mécaniques.

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Dan O’Bannon et Hans Ruedi Giger.

Giger est engagé pour l’élaboration de la partie « alienesque » du film. Outre les décors de la planète et du vaisseau extra-terrestre, un mix de certaines créations de l’artiste, toutes à la fois cauchemardesques et hyper-sexuées, servira de base pour élaborer la créature au centre du scénario. Et pour des questions de coût – le budget n’étant que de 11 millions de dollars – le tournage va se dérouler en Grande-Bretagne.

L’équipage et le passager clandestin.

Pour le casting du film, Ridley Scott souhaite de bons acteurs, ayant fait leurs preuves au théâtre ou au cinéma sans être des têtes d’affiche. Huis-clos oblige, il va constituer une petite équipe de 8 comédiens… et innover, pour ce genre de productions, en donnant le rôle principal à une femme !

Déjà vu dans PAT GARRETT ET BILLY LE KID de Sam Peckinpah ou DE L’OR POUR LES BRAVES avec Clint Eastwood, Harry Dean Stanton est Brett, l’un des « mécaniciens » du vaisseau Nostromo aux côtés de Parker, incarné par Yaphet Kotto, vu dans L’AFFAIRE THOMAS CROWN ou VIVRE ET LAISSER MOURIR. Venu du théâtre shakespearien et déjà dans des productions britanniques comme TERREUR SUR LE BRITANNIC ou LA ROSE ET LA FLÈCHE avec Sean Connery, Ian Holm est le scientifique Ash. Aperçu dans des séries tv comme LE FUGITIF ou des films comme MASH de Robert Altman, Tom Skerritt incarne le capitaine Dallas. Quant à l’anglais John Hurt, dans le rôle de Kane la première victime de l’alien, on a pu le voir dans LE CRI DU SORCIER ou MIDNIGHT EXPRESS comme on a pu entendre sa voix dans le rôle d’Aragorn dans le film d’animation LE SEIGNEUR DES ANNEAUX de Ralph Bakshi en 1978. Ce dernier décroche d’ailleurs son rôle in extremis car Jon Finch, initialement prévu pour jouer Kane, tombe gravement malade au début du tournage.

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L’équipage du Nostromo au grand complet.

Pour le rôle de Ripley, le scénario d’origine prévoyait un homme. Mais au cours des réécritures, David Giller propose que le personnage soit tenu par une femme. C’est encore nouveau pour l’époque mais l’idée séduit l’équipe de production.

Ripley sera donc initialement proposé à l’actrice anglaise Veronica Cartwright, découverte enfant dans LES OISEAUX d’Alfred Hitchcock puis vue dans L’INVASION DES PROFANATEURS de Philip Kaufman. Mais lors de l’essayage des costumes, la jeune femme découvre qu’elle n’a pas été retenue pour le rôle et qu’on lui a octroyé le personnage de Lambert, qu’elle juge inutile et geignarde. La production parvient à la convaincre mais sur le plateau, Cartwright gardera quelques temps une certaine rancœur contre sa remplaçante, ce qui se ressentira lors de quelques séquences conservées à l’écran…

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Sigourney Weaver dans le rôle marquant du lieutenant Ellen Ripley.

C’est Sigourney Weaver, une jeune actrice New Yorkaise déjà aperçue dans ANNIE HALL de Woody Allen, qui incarnera le lieutenant Ripley, après que Meryl Streep fut un moment envisagée. Plus habituée au théâtre et à ses auteurs intellectuels, Weaver n’est pas particulièrement emballée par le rôle, dans un premier temps, ni familière de ce genre de films. Mais à son arrivée pour passer des tests, Ridley Scott est épaté par sa silhouette longiligne, et ce mélange de féminité et de fermeté qu’elle dégage. Dernière du casting, elle fait ses essais directement dans les décors construits et décroche rapidement le rôle.

Reste l’épineux problème de la créature. Scott ne souhaite pas que l’on devine l’acteur dans le costume, pour le dernier stade de transformation de l’Alien. Si le monstre est constitué d’une tête, de bras et de jambes, la singularité de sa physionomie présente un tel casse-tête que le cinéaste envisage un temps de faire réaliser le personnage en animatronique. Le budget serré du film  ne le permet pas et le recours à un comédien « hors-normes » devient crucial.

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Bolaji Badejo, jeune étudiant nigérian dans la peau du xénomophe.

Bolaji Badejo, un étudiant en arts plastiques nigérian de 2m18, va être repéré au détour d’un bar. Sa taille fine et sa démarche particulière, outre son immense allure, constituent des atouts de choix pour incarner une créature venue d’ailleurs. Il sera choisi pour jouer l’Alien… et ce sera son unique film. Régulièrement mis à contribution pour participer à des making-of d’ALIEN, il disparaîtra en 1992 d’une maladie génétique.

Sur le tournage, personne ne vous entend tousser.

Démarrant en 1978 dans les studios Shepperton, près de Londres, le tournage d’ALIEN s’avère éprouvant, tant physiquement que moralement. Baignant régulièrement dans une soupe de fumigène, l’équipe technique et les acteurs doivent gérer avec des conditions difficiles durant de longue heures. Si les accessoiristes redoublent d’imagination et de perfection pour donner au film une sensation de réalisme, ils oublient parfois d’être conformes aux règles de sécurité.

Ainsi, lors de la séquence d’exploration amenant Dallas, Lambert et Kane vers le vaisseau extra-terrestre, les acteurs Tom Skerritt et John Hurt souffrirent de graves troubles respiratoires. On découvrit que leurs scaphandres n’étaient pas équipés de trous vers l’extérieur, les laissant ainsi s’intoxiquer au gaz carbonique !

Dans la peau de l’Alien, Bolaji Badejo endura lui aussi de longues heures d’habillage et de tournage difficiles. Il manqua plusieurs fois de s’étouffer avec la pâte Slimy utilisée pour figurer la bave constante de la créature !

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Bolaji Badejo au maquillage avec Giger et Ridley Scott.

Comme de nombreuses productions cinématographiques associant exigence artistique et budget limité, les tensions sur le tournage entrainèrent de multiples coups de gueule de Ridley Scott. À bout de nerfs, il en vint à percer de son poing le toit d’un décor du Nostromo ! Comme déjà évoqué plus haut, Sigourney Weaver connut quelques tensions avec Veronica Cartwright, initialement prévue pour le rôle de Ripley. Lorsque cette dernière la frappa lors d’une scène du film, sa colère n’était pas feinte.

Weaver dut également subir le machisme de Yaphet Kotto, un rien méprisant avec la jeune débutante qu’elle était alors. Lors de la scène en fin de film où le personnage de Ripley remet vivement à sa place le personnage de Parker, l’actrice, excédée, n’eut pas besoin de se forcer pour imposer son statut de chef de troupe !

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Pour cette scène culte, les propres enfants de Scott figurèrent les astronautes.

Au delà de ces incidents propres à de nombreux tournages, la production d’ALIEN fut aussi l’occasion de multiples astuces pour rendre le film encore plus impressionnant. Lors de la scène de la découverte du Space Jockey, Ridley Scott remplaça les 3 acteurs en tenue d’astronautes par ses propres enfants, dans des costumes identiques mais à leurs tailles, afin d’augmenter le gigantisme du vaisseau extra-terrestre.

Sur le modèle de JAWS, Scott décida de ne pas mettre en lumière la créature, utilisant la singularité du décor du Nostromo et la pénombre ambiante pour masquer les imperfections du costume. Pour les gros plans du monstre, un modèle mécanique de la tête (pour figurer le système de « langue / machoire ») fut utilisé, constituée en partie de préservatifs pour simuler les tendons de la machoire !

Pour la séquence finale qui voit Ripley éjecter l’Alien de la navette de secours, le décor fut incliné à la verticale à quelques mètres du sol. Lorsque les tuyères de la navette se déclenchent afin de propulser définitivement la créature dans l’espace, ce sont juste de puissants projecteurs qui s’allumèrent, accompagnés de trombe d’eau qui se déversèrent vers la caméra. Bien avant l’image de synthèse, le système D avait parfois du bon !

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Scène choc pour les spectateurs, la mort de Kane perturba aussi les acteurs.

Enfin, la traumatisante scène où Kane / John Hurt est tué par par le « bébé » Alien sortant de son thorax fut également un moment éprouvant pour les nerfs des acteurs. C’est l’un des secrets les moins secrets du tournage du film mais il est toujours bon de rappeler que le casting n’avait pas été informé des détails de la prise de vue. John Hurt fut placé dans le décor de telle sorte  qu’un faux buste remplaça le sien, équipé d’un sytème mécanique permettant de percer son corps de latex à l’aide du « bébé » monstre.

Plusieurs essais furent nécessaires car le tee-shirt empêchait la bête de sortir. Puis quand les détails techniques furent réglés, on fit venir le reste du casting et la scène fut tournée dans une quasi-continuité, à peine agrémentée des quelques gros plans filmés ultérieurement. La réaction d’horreur des acteurs face à l’ambiance gore de la séquence n’en fut que plus réaliste, jusqu’au geyser de sang qui aspergea de plein fouet la pauvre Veronica Cartwright, proche d’une hystérie non simulée !

Une référence inégalée

Sorti en 1979, ALIEN fut un immense succès critique et commercial malgré sa classification restrictive partout dans le monde, dont une interdiction au moins de 13 ans en France… m’empêchant de le voir à l’époque lors d’une sortie avec mon frangin. De nombreux journaux et magazines n’hésitèrent pas à le comparer comme le pendant horrifique de STAR WARS. Et les amateurs de littérature et de films de SF et d’épouvante se sentirent enfin compris.

ALIEN innova en de nombreux points. Ridley Scott, toujours dans un soucis de réalisme malgré le côté totalement fantastique du récit, donna au film cet aspect quasi-documentaire, s’inspirant du traitement photographique de MASSACRE À LA TRONÇONNEUSE et donnant à ses personnages une profondeur dénuée de détails inutiles. Durant le récit, on ne découvre que le strict minimum sur chaque membre du Nostromo. Mais le soucis du détail, tant sur les costumes que les décors, et le jeu naturel des acteurs font qu’en quelques plans seulement, l’univers d’ALIEN s’impose comme une évidence et nous implique à 200% jusqu’au mot « fin ».

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Moment d’intense clarté et de calme avant la tempête…

Très étonnant pour l’époque, ALIEN devint un véritable phénomène de société, chose rare pour un film horrifique incluant des moments gore et une ambiance poisseuse et cauchemardesque des plus anxyogène. Sans devenir vraiment une source inépuisable de merchandising comme la saga galactique de Geroges Lucas, le film connut un engouement mondial qui se poursuit toujours, faisant de lui un film culte tout en étant un immense succès.

Inédite pour l’époque, cette façon de mêler horreur et SF devint rapidement un modèle souvent copié (voire copié-collé) mais jamais égalé. Les ersatz Italiens ou les productions Roger Corman, comme LA GALAXIE DE LA TERREUR, envahirent les cinémas de quartier et les vidéo-clubs, surfant sur la vague de succès du film de Scott et la demande d’un public en manque d’aventures horrifico-spatiales.

ALIEN Film 'ALIEN' (1979) Directed By RIDLEY SCOTT 25 May 1979 SSZ101380 Allstar Collection/20TH CENTURY FOX **WARNING** This photograph can only be reproduced by publications in conjunction with the promotion of the above film. For Printed Editorial Use Only, NO online or internet use. 0511z@yx
Réussite à la fois fascinante et repoussante, le xénomorphe rendit célèbre Giger.

ALIEN fut une véritable rampe de lancement pour Ridley Scott, Sigouney Weaver et Giger. Le cinéaste s’imposa rapidement comme un créateur phare d’univers cinématographique visuellement époustouflant, comme le confirma 3 ans plus tard la sortie de BLADE RUNNER. Sans l’avoir voulu, lactrice devint l’icône féminine – et féministe – d’un cinéma de genre jusqu’alors bouffi de testostérone, véritable modèle pour les Sarah Connor et les Furiosa à venir. Quant à l’artiste plasticien Suisse, le xénomorphe du film permit de faire mondialement connaître son œuvre torturée et singulière.

Le film de Ridley Scott lança une saga constituée de réussites (ALIENS) et de catastrophes (ALIEN vs PREDATOR) mais permit de révéler les talents de cinéastes visionnaires. Il fut un modèle pour de nombreux jeux vidéos immersifs et connut même une ressortie « Director’s Cut » en 2003.

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La Belle et la Bête, le chevalier blanc contre le dragon.

Film d’horreur, film de Science-Fiction, film d’auteur (si si si), lourds de symboles et jouant sur nos peurs les plus profondes, ALIEN marque un tournant important du cinéma de genre, source de vénération méritée et d’analyses sans fin. Dans son espace, on peut s’y perdre comme on peut y crier sans que personne ne vous entende.

Cet article fait partie du Ciné-Club de Potzina de Janvier 2016


ALIEN (1979) de Ridley Scott.
Avec Sigourney Weaver, Tom Skerritt, Veronica Cartwright, Yaphet Kotto, John Hurt, Harry Dean Stanton, Ian Holm et Bolaji Badejo.
Scénario : Dan O’Bannon et Walter Hill. Musique : Jerry Goldsmith.

Crédits photos : 20th Century Fox / Brandywine Films.

Bande-Annonce

Bonus

• Un lien vers l’excellente et anxyogène bande originale de Jerry Goldsmith.

• Nombreux sont les blogs et sites évoquant le chef d’œuvre de Ridley Scott. Le blog audio SPLITSCREEN revient sur le film de façon complète durant plus de 2h30 !

• Enfin, si vous êtes comme moi des fans hardcore du film, je ne serais trop vous recommander l’impressionnante et passionnante liste de bonus de l’édition blu-ray. Et si vous adorez la saga, offrez-vous (si ce n’est déjà fait) l’édition complète des 4 films en blu-ray !

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14 commentaires Ajoutez le vôtre

  1. manU dit :

    Passionnant ! J’adore cette saga.

    Aimé par 1 personne

    1. Merci Manu ! Comme toi, je suis accro à cette saga. L’original reste quand même ce qui s’est fait de mieux 😉

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  2. potzina dit :

    Clap ! Clap ! Clap ! Waouh ! Bravo pour ce fabuleux articles, c’était passionnant à lire. On en a déjà parlé ensemble, tu sais que j’adore ce film et plus généralement la saga (même Alien La Résurection, si, si !). Je ne l’ai pas vu au ciné puisque je n’étais pas née mais il est passé à la télé quand j’étais toute gosse et je n’ai pas eu le droit de le regarder. Mes parents ont eu raison parce que j’ai eu une trouille bleue quand j’étais ado. D’ailleurs, j’ai toujours peur aujourd’hui alors que je connais les scènes par cœur et que je sais comment ça finit ! 😀

    Aimé par 1 personne

    1. Merci tout plein Lady Potzi 😉 Oui, c’est une sacré saga. Et je comprends très bien que le 1er film t’ait fichu la trouille ! Je l’ai découvert au ciné lors d’une re-sortie quelques années après la 1ère exploitation. Quel choc ! Comme toi, j’ai beau connaître le film par cœur, je suis toujours scotché à mon fauteuil… On avait été voir la version Director’s cut en 2003 avec un pote. Il y a des ajouts intéressants qui méritaient cette nouvelle version. Et on s’était dit que le film fonctionnait toujours autant, 25 ans après sa sortie initiale.

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  3. Wow! Merci pour toutes ces anecdotes passionnantes sur ce film cultissime. Quel bonheur de retrouver Ripley et sa bébête

    Aimé par 1 personne

    1. Merci Girlie ! C’est toujours un plaisir de voir que la SF et le film de genre ne sont pas réservés aux mecs 😉 Et encore bravo pour ton article sur SERENITY !

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